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#ARRETE, sensibilisation aux violences et à la cyberviolence sexuelles

#ARRETE, sensibilisation aux violences et à la cyberviolence sexuelles

17 % des jeunes sont victimes de cyber-violence et de violences sexuelles dans leur couple

1 fille sur 10 subit des violences sexuelles dans sa relation amoureuse

1 femme sur 6 a déjà subi 1 viol dans son couple

A l’approche de la Saint Valentin, la Wallonie, la Fédération Wallonie Bruxelles et la COCOF relancent la campagne de lutte contre les violences sexuelles dans les couples de jeunes et jeunes adultes.

Cyberviolence à caractère sexuel ou sexiste, rapport sexuel non consenti, viol, …

« #ARRÊTE c’est de la violence » se décline en 4 spots web, un spot TV, des affiches et stickers. Jeunes ou moins jeunes, la majorité des victimes n’ose pas en parler ou demander de l’aide. De même, il peut parfois être difficile de détecter les signes de violence dans une relation amoureuse.

Le site de la campagne www.arrete.be aide les jeunes à détecter les formes d’agressions sexuelles et les informe des relais en cas de violences sexuelles. Un système de chat est également proposé.

BESOIN D’AIDE ?

Vous éprouvez le besoin de parler ?
Vous vous posez des questions sur ce que vous vivez ou avez vécu ?
Vous avez besoin d’aide ?
0800/30 030 – gratuit et anonyme 24h/24
Ou chat sur www.ecouteviolencesconjugales.be

VIOLence?

Dans 80% des cas, l'agresseur est une personne que l'on connait.

Tu n'es jamais coupable des violences sexuelles qui te sont arrivées. Il n'y a que l'agresseur qui est coupable.

Souvent, même si on est victime, on ressent de la honte et on n'ose pas demander de l'aide car on se sent responsable de ce qui est arrivé. On pense qu'on pourra oublier. Mais même si le souvenir devient moins fort avec le temps, souvent cela reste très présent à l'esprit. Parfois, l'agression est tellement traumatisante que, pour se protéger, le cerveau masque le souvenir (c'est la mémoire traumatique). La mémoire peut parfois revenir des années plus tard.